vendredi 19 août 2011

Claude:La barrière de corail













Nous étions prêts et fringants pour notre Magic Mystery Tours sur et sous la mer. Un autobus est venu nous prendre vers 8h am.  À l’attendre, j’avais un mal de mer par anticipation. Une fois dans l’autobus cependant mon tube digestif a décidé de faire la paix avec le reste de mon organisme et j’ai pu commencer à apprécier le voyage. Après avoir réglé les formalités avec un joyeux personnel (qui semblait avoir en moyenne 20 ans) c’est le départ. La mer était calme avec peu de vent, environ 15 nœuds, le soleil brillait et nous promettait une excellente journée. Sur le bateau pour se rendre à une plateforme flottante, appelée ponton, c’est la sollicitation pour toutes sortes de suppléments dits inoubliables (je ne parle pas du prix, qui lui-même contribue beaucoup à les rendre mémorables). C’est à partir de ce ponton qu’auront lieu nos ébats aquatiques. Le trajet sert de prétexte à une session éducative, les guides nous donnent beaucoup d’informations intéressantes sur la faune et la flore aquatiques, mais j’ai surtout appris qu’environ 10% des passagers souffraient du mal de mer... Avoir le mal de mer ce n’est pas silencieux et on ne s’isole pas dans les minuscules toilettes pour être malades. On nous fournit gracieusement un petit sac prévu pour cette situation...après tout, on est à l’âge du mobile, on peut donc s’en servir un peu partout. Je vous laisse donc imaginer les sons presque inhumains qui accompagnaient les présentations et annonces faites par l’équipage. (Je crois, à bien y penser, qu’il y avait un effet de contagion du mal de mer via ceux que l’on entendait rendre leur déjeuner.)

Pour ce qui est des activités elles-mêmes, ce fut très réussi. De reprendre contact avec le snorkling a été plaisant. J’ai participé (un supplément!) à un tour guidé du récif-hôte, agrippé  à une"tripe"-bouée de sauvetage. Ce tour aquatique fut très instructif et m’a permis de me refamiliariser avec le masque, le tuba et les palmes. Parmi les informations données, on a insisté sur le fait que les requins ne sont pas dangereux, uniquement 5 personnes se sont fait bouffer pendant la dernière année en Australie. C’est moins risqué que de conduire une voiture ( Pas certain avec moi comme conducteur à droite)! Je ne les avais pas encore vus les requins, ils étaient à environ 50 mètres de moi… Paisible bestiole, très élégante. Je dois dire que je les ai vus via le bateau à fond de verre, c’était moins inquiétant. La bouffe sur le ponton, pour ceux qui pouvaient manger (le ponton avait un agréable mouvement de balancier), était correcte, bien que la lasagne aux aubergines était un peu surcuite.

Le corail lui-même respectait les promesses faites: très spectaculaire. Les poissons également, ils n’étaient pas effrayés par le banc de touristes pataugeants et bruyants (il y en a même qui réussissaient à parler avec le tuba dans la bouche sous l’eau, c’est pas mal) qui les envahissaient et j’ai même flatté un gigantesque poisson MAORI du nom de Willie (manifestement apprivoisé, voir les photos). Les bateaux avec fond de verre ont été intéressants, mais la lumière se dégrade vite dans l’eau : déjà à un mètre de profondeur, la lumière blanche a presque disparu, puis c'est le rouge qui disparaît et les dernières couleurs à disparaître sont le vert et le bleu. Résultats, tout était un peu vert par les hublots, pour mieux apprécier  les couleurs, il faut plonger de préférence équipé d'une source de lumière blanhe.


Claude : samedi 6 août 2011 - Une première expérience de conduite à droite


Nous avons loué une auto pour explorer les environs de Cairns. Ma première expérience de conduite à droite, sans doute pas la dernière, j’espère. Je peux affirmer que cette expérience a été couronnée de succès ! C’est simple, pour réussir il faut se répéter à haute voix : je conduis à droite, mais il faut que je me tienne du côté gauche de la route. Aussi, il est bon que je me répète que  lorsque je tourne à droite il faut que j’aille me placer du côté gauche de la route sur laquelle je tourne. Vous voyez, c’est simple comme tout, il faut seulement ne pas confondre la droite avec la gauche ! Nous avons loué une petite auto, minuscule, tout juste bonne pour nous trois et les caméras. Elle fait le travail. Cependant, dans les montées et dans les accélérations, on aurait juré que le moteur voulait sortir du capot ! Ralentissement obligé aux intersections équipées de ronds-points avec priorité à droite. Les Aussies sont très respectueux du Code de la route, mais ils sont quelque peu impatients. Comme je n’étais pas très habile au volant (la distinction gauche- droite vous savez), j’en ai irrité plus d’un… Ma première sortie fut quand même un succès, bravo à moi! 









La première sortie

Le but de cette première sortie? Magasiner. Hé oui, les centres d’achat nous manquaient… Alors nous sommes allés au centre-ville de Cairns (!) petite ville portuaire d’où partent toutes les excursions en mer. La gérante du petit resort dans lequel on est installé nous a suggéré une visite au DFO local. Ce qui m’a frappé, outre le fait que nous retrouvions des produits presque identiques à ceux disponibles au Canada, c’est l’allure funky de la mode locale : très asymétrique.





Notre deuxième sortie en voiture fut pour aller à Kurunda et Atherton… Montée spectaculaire par une route en lacet, enfin, une route en folie conviendrait mieux. Le village de Kurunda, là-haut, est très touristique avec des boutiques en quantité. On y offre cependant presque partout à peu près les mêmes choses. Mais, si on porte attention, on peut y trouver des offres spectaculaires, par exemple à la Peter Jarver Gallery, photographe professionnel réputé en Australie pour ses "landscapes. D'immenses photos très bien encadrées, de 80 cm par 1.5m environ, y sont exposées. Une en particulier a attiré notre attention et notre intérêt a suscité l’intérêt du vendeur pour nous. Il fut, je dois dire, très convainquant et passant de la parole aux actes il a fait passer son prix de 2,500$ à 500$ pour tenter de faire sa vente. Nous avons failli acheter! Ce qui nous a retenus c’est de ne pas savoir où exposer cette gigantesque et spectaculaire photo à la maison. Si vous êtes curieux, visitez le siteWeb du photographe, maintenant décédé, à peterjarver.com






Et la pluie est venue… torrentielle, à boire debout (littéralement). Les touristes sont alors disparus comme par enchantement (c’est l’équivalent du chasse moustique, mais pour les touristes). Nous étions alors les derniers touristes et les boutiques fermaient faute de clientèle. Nous avons donc décidé de visiter le village en auto et, en parcourant ses rues, nous avons noté une petite affiche annonçant une chute : La Barron Falls. N’écoutant que l’humidité ambiante nous avons décidé d’aller voir ces chutes. Nous avons laissé l’auto dans le stationnement du parc et, effet secondaire de la pluie, il n’y avait plus de touristes… Après avoir marché sur des passerelles trempées traversant la forêt pluviale sous la pluie : Oh surprise ! les chutes étaient magnifiques. Ce n’était pas du « Niagara », mais quelle gorge magnifique. Avec des images plein la tête, nous avons plané (descente de la montagne par le nœud routier) jusqu’à notre hôtel.

dimanche 14 août 2011

Venez voir Sydney prise 2 et de Cairns à Sydney (par avion)

Voici une vision de Sydney qui vous étonnera. Également j'ai pris des photos de notre retour à Sydney en avion, il y en a quelques-unes de très intéressantes. Il y a des îles dans le ciel.

http://gallery.me.com/richardclaude#100434
http://gallery.me.com/richardclaude#100429

vendredi 12 août 2011

Photos d'oiseaux

Venez voir notre collection de photos d'oiseaux à : http://gallery.me.com/richardclaude#100413

mardi 9 août 2011



Nous sommes allés faire un tour à l’intérieur des terres australiennes. Pour y arriver, nous devons passer par une petite route sinueuse. Mon père nous a fait vivre des sensations fortes à moi et à ma mère par sa conduite chevaleresque. Je n’ai pas été malade même si je suis très sensible au mal des transports : une chance pour moi! Comme Marie-T n’arrivais pas à jouer son rôle de navigatrice j’ai tenu ce rôle à sa place pendant qu’elle était sur la banquette arrière le nez dans ses guides. Après que nous ayons passé les montagnes, ce fut le calme plat.  Les routes étaient droites et les paysages vastes et grandioses. Nous avons vu des petits villages pittoresques, des termitières le long des chemins et des petites maisons sur pilotis. Même si la température n’était pas toujours au rendez-vous, nous avons passé une excellente journée. Nous avons pris une petite collation dans un café très sympathique. J’y ai mangé une super pointe de gâteau aux carottes avec glaçage au fromage à la crème et orange. Nous avons pris une marche au bord d’une rivière de couleur brune où habitaient des ornithorynques. Hey oui! Nous avons vu ce qui pourrait passer pour une tête d’ornithorynque, toutefois mon père jure que c’était une machine faite pour exciter les touristes. 




jeudi 4 août 2011

Et les aventures continuent!







Nous avons fait un tour organisé le long de la côte. La journée était couverte et on a même eu droit à de la pluie sur un bout de rivière que l’on a parcouru en bateau. Par chance MT et moi avions nos imperméables, mais Li-San a plutôt décidé de laisser son imperméable au sec dans l’autobus. C’est bien pour l’imperméable, par contre mon chapeau australien en peau de Kangarou a prouvé qu’il était vraiment imperméable. 3 crocodiles et 1 serpent nous ont fait l’insigne honneur de se laisser photographier au grand bonheur de tous. Les crocodiles semblaient parfaitement détendus, reposant sur un lit de boue. Ils faisaient semblant de dormir, inoffensive petite bête, invitant la caresse. Ce fut avec la visite de la forêt pluviale un moment fort de ce tour.

La forêt pluviale est, je dois le dire, très impressionnante. C’est 4 ou 5 étages de végétation. La forêt est organisée en palier et grâce à une tour érigée à cet effet nous avons pu les franchir pour arriver à son sommet. Le paradis du bucheron. Il est très difficile de faire des photos dans cet environnement, on est entouré de toute part d’objets verts, aucune perspective, on ne sait plus où est le soleil. Je peux comprendre qu’il est très facile de se perdre dans ce type de forêt.

Ce qui est remarquable est de voir comment, hors des centres, la campagne est peu développée. Ce qui est aussi remarquable est de voir comment ils ont fait la mise en valeur de leurs avantages touristiques : c’est une mise en valeur maximale. C’est beau, mais ça reste simple. Probablement que le manque de moyens et de volume touristique pour faire à « l’américaine » explique le résultat. Ça demeure impressionnant et j’ai hâte d’aller voir une partie de ce qui constitue la grande barrière. Ce qui m’inquiète c’est que pour pouvoir en bénéficier il faut faire de la plongée… Je ne suis pas au meilleur de ma forme et il y a déjà un bout de temps que je n’ai pas fait de plongée. De passer une partie de la journée dans l’eau me sourit plus ou moins, même si on me dit que la température de l’eau varie entre 24 et 26 degrés. J’ai bien peur qu’ils aient surestimé la température de l’eau pour ne pas effrayer le « touriste ».

Excursion à Cape Tribulation, Mossman gorge et au parc de la fôrêt pluviale Daintree(1)








Hier, sous un ciel lourd de pluie annoncée, nous sommes montés à 7:40 précises dans le petit autobus de la compagnie Tropical Horizons Tours. Première surprise, notre conducteur-guide : un homme dans la trentaine, longiligne et de port très volontaire s’élance  vers nous dans son uniforme-safari pour nous souhaiter très énergiquement la bienvenue à bord son autocar dans un anglais bizarroïde que nous peinons à comprendre…Est-ce l’heure matinale ou un accent austalien d’une autre région? Une pensée me traverse aussitôt l’esprit : la journée risque d’être longue si je n’arrive pas à mieux le comprendre…Mais pour l’instant nous montons rejoindre nos  compagnons de voyage de la journée aux yeux encore peins de sommeil.  Peut-être ont-ils déjà abandonné de comprendre les explications enthousiastes du guide et tout simplement décidé de se réfugier dans une inattention bienveillante.


Alors, c’est parti ! On roule vers le nord : destination finale Cape Tribulation suite à quoi nous serons sur le chemin du retour. On en a pour toute la journée. D’abord, ce qui frappe, est la beauté sauvage des côtes et des plages qui bordent la Captain Cook Highway (No 44 ou 14 selon les endroits !) que nous empruntons pour notre excursion. 

Excursion à Cape Tribulation, Mossman gorge et au parc de la fôrêt pluviale Daintree(2)







Le Capitaine James Cook domine encore la région près de 250 ans après sa découverte et son exploration de la côte Est de ce continent comme en témoigne les noms de villes ou de sites suivants: Cooktown, Endeavor ( le nom de son navire qui s’est échoué sur la Grande barrière de récif et qu’il a dû réparer pendant six semaines tout en luttant contre la faune locale ie les crocrodiles de mer et autres bestioles du genre), Cape Tribulation, Mount Misery et Cape Sorrow. Les temps, semble-t-il, n’étaient pas aux réjouissances.

Nous traversons des terres où la culture de la canne à sucre domine le paysage. Massimo, notre guide d’origine italienne, monologue sur les multiples étapes de la récolte  dans un micro  fixé à une bande élastique  occipitale qui contourne ses oreilles. Il fait très pro mais ses propos ne suscitent pas beaucoup d’intérêt chez le groupe de touristes qu’ils promène sauf au moment  où il explique que les Australiens du Queensland produisent un excellent rhum le « Bundaberg Rum ».  Nous nous faisons une note mentale de le déguster d’ici la fin du voyage…pour l’instant nous nous régalons avec les bières locales et surtout les excellents Shiraccroché az que nous découvrons !  L’économie de la région repose maintenant en grande partie sur ce type de culture et le tourisme qui, tous deux ont supplanté la production minière d’or de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Eh oui, il y a eu, ici aussi, une période de « gold rush » qui s’est accompagnée de la naissance et de la disparition de petites villes minières au gré de la générosité du sol…

Excursion à Cape Tribulation, Mossman gorge et au parc de la forêt pluviale Daintree(3)






Nous pénétrons assez rapidement dans le territoire des fôrets humides du Queensland, un des onze sites de l’Australie protégés par la convention du patrimoine mondial de l’Unesco. D’ailleurs ici, deux sites protégés se côtoient la Grande barrière de corail et la Forêt pluviale qui s’étend jusqu’au plages du Pacifique. Pour le touriste avide d’expériences nouvelles : Un deux pour un quoi ! Nous nous sentons complètement enveloppés de verdure aux multiples expressions. À ce temps-ci de l’année, la saison sèche, l’humidité est très tolérable. On se promène en tout confort sur les passerelles, les ponts suspendus et les centres d’interprétation qui sont aménagés pour les visiteurs. Mais je n’ose pas imaginer la perception de la chaleur lorsque la température atteint 45 C et le taux d’humidité frise les 100% au cours la saison des pluies. Je ne sais pas ce que Miss Météo radio-canadienne Jocelyne Blouin déclarerait comme température en tenant compte de cet humidex !! Il s’abat au minimum 4.5 mètres d’eau au cours de l’été sur cette région qui abrite plus de 50% des espèces d’oiseaux australiens et 30% des marsupiaux qui parcourent le continent. Ça, mes amis, c’est ce qu’on appelle la biodiversité en concentré !! Il y a rarement  du silence en ces lieux qui appartiennent aux espèces mieux équipées que l’humain pour s’y épanouir.

Nous avons vu, de nos yeux vus, trois crocrodiles dignes de la réputation qui leur est faite: immense bête préhistorique d’allure menaçante dont la placidité n’est qu’apparente… un « Cassowary », une espèce de grande autruche noire qui se promène dans la fôret et qu’il vaut mieux semble-t-il ne pas vexer ni frustrer, car cet oiseau non volant est muni de griffes acérées qui peuvent infliger des blessures significatives à ses victimes…un serpent à ventre vert qui, bien qu’il ne soit pas volant lui, a été aperçu suspendu lassivement aux branches d’un mangrove en bordure de la rivière Daintree…je vous le dis ici c’est le monde à l’envers : l’ oiseau emblème du parc ne vole pas et les serpents sont perchés sur les branches !!

La beauté de la plage de Cape Tribulation tient, à mon avis, à son aspect sauvage où l’homme n’a pas, à ce jour, réussi à laissé son empreinte. Une grande sérénité se dégage de cette baie protégée. On est envahi d’un sentiment de plénitude…interrompu malheureusement par l’appel de Massimo qui nous enjoint de presser le pas pour …la retour.

Forêt dangereuse







Il y a quelques jours, nous avons fait une excursion qui a longé une petite partie de la côte Est de l’Australie. La température prévoyait qu’il y aurait des pluies isolées dans la région. La météo a dit vrai puisqu’il n’y a eu qu’une petite averse en avant-midi. Nous avons vu des endroits avec des vues panoramiques incroyables, des crocodiles dans la bouette, un oiseau rare et agressif et beaucoup d’autres choses surprenantes. La nature est très impressionnante en Australie. Notre guide était très dynamique et conduisait très bien, un peu vite par moments... Il nous donnait beaucoup d’informations pertinentes et il faisait son possible pour rendre notre journée inoubliable.  Notre excursion a commencé dès 7h40 et s’est terminé vers 17h. Nous sommes revenus épuisés à notre appartement, mais heureux d’avoir vu la nature sauvage de l’Australie.

Excursion le long de la côte australienne





Nous avons fait un tour organisé le long de la côte. La journée était couverte et on a même eu droit à de la pluie sur un bout de rivière que l’on a parcouru en bateau. Par chance MT et moi avions nos imperméables, mais Li-San a plutôt décidé de laisser son imperméable au sec dans l’autobus. C’est bien pour l’imperméable, par contre mon chapeau australien en peau de Kangarou a prouvé qu’il était vraiment imperméable. 3 crocodiles et 1 serpent nous ont fait l’insigne honneur de se laisser photographier au grand bonheur de tous. Les crocodiles semblaient parfaitement détendus, reposant sur un lit de boue. Ils faisaient semblant de dormir, inoffensive petite bête, invitant la caresse. Ce fut avec la visite de la forêt pluviale un moment fort de ce tour.

La forêt pluviale est, je dois le dire, très impressionnante. C’est 4 ou 5 étages de végétation. La forêt est organisée en palier et grâce à une tour érigée à cet effet nous avons pu les franchir pour arriver à son sommet. Le paradis du bucheron. Il est très difficile de faire des photos dans cet environnement, on est entouré de toute part d’objets verts, aucune perspective, on ne sait plus où est le soleil. Je peux comprendre qu’il est très facile de se perdre dans ce type de forêt.

Ce qui est remarquable est de voir comment, hors des centres, la campagne est peu développée. Ce qui est aussi remarquable est de voir comment ils ont fait la mise en valeur de leurs avantages touristiques : c’est une mise en valeur maximale. C’est beau, mais ça reste simple. Probablement que le manque de moyens et de volume touristique pour faire à « l’américaine » explique le résultat. Ça demeure impressionnant et j’ai hâte d’aller voir une partie de ce qui constitue la grande barrière. Ce qui m’inquiète c’est que pour pouvoir en bénéficier il faut faire de la plongée… Je ne suis pas au meilleur de ma forme et il y a déjà un bout de temps que je n’ai pas fait de plongée. De passer une partie de la journée dans l’eau me sourit plus ou moins, même si on me dit que la température de l’eau varie entre 24 et 26 degrés. J’ai bien peur qu’ils aient surestimé la température de l’eau pour ne pas effrayer le « touriste ».